Articles Tagués ‘1962’

Tous les dimanches, je mets en ligne une source d’inspiration pour l’écriture de mon roman Lithium Breed. Ca peut être une photographie, une chanson, une phrase… Par contre, je dis pas pourquoi ou pour quoi ça m’a parlé et la façon dont c’est digéré dans l’écriture : c’est juste pour le plaisir des yeux et/ou des oreilles (et vilement faire revenir les habitués aussi le dimanche !).

C’est parfaitement inutile, donc parfaitement indispensable.

Aujourd’hui : Les mensurations de Marilyn Monroe

Marilyn Monroe mesurait 1.66 m, ses mensurations étaient 97-62-92 en 1956. Lors du tournage de Something’s Got To Give – soit quelques mois avant sa mort – elles étaient de 95-62-92. Elle pesait entre 57 et 58 kg à cette époque. Au regard des dernières photos de sa vie, on peut raisonnablement penser qu’elle avait encore perdu du poids et que ses mensurations avaient continué à décroître pour suivre la courbe (et il faudra que j’y fasse une petite allusion dans le texte).

1956

Essais Something’s got to give

Dernière séance photos

Tous les dimanches, je mets en ligne une source d’inspiration pour l’écriture de mon roman Lithium Breed. Ca peut être une photographie, une chanson, une phrase… Par contre, je dis pas pourquoi ou pour quoi ça m’a parlé et la façon dont c’est digéré dans l’écriture : c’est juste pour le plaisir des yeux et/ou des oreilles (et vilement faire revenir les habitués aussi le dimanche !).

C’est parfaitement inutile, donc parfaitement indispensable.

Aujourd’hui : Maria Callas et Marilyn Monroe.

La photo a été prise durant la petite sauterie privée qui suivait la grande cérémonie télévisuelle pour l’anniversaire de Kennedy. Les amateurs reconnaitront la robe… La scène inspirée par cette photo (et d’autres) est actuellement dans le dossier « poubelle » car peu satisfaisante ; je pense toutefois qu’elle reviendra une fois retravaillée. Pour plus d’informations sur cette soirée, je vous renvoie à un ancien post.

Tous les dimanches, je mets en ligne une source d’inspiration pour l’écriture de mon roman Lithium Breed. Ca peut être une photographie, une chanson, une phrase… Par contre, je dis pas pourquoi ou pour quoi ça m’a parlé et la façon dont c’est digéré dans l’écriture : c’est juste pour le plaisir des yeux et/ou des oreilles (et vilement faire revenir les habitués aussi le dimanche !).

C’est parfaitement inutile, donc parfaitement indispensable.

Aujourd’hui : Les photos qui ornent les fonds d’écran de mon iPad (pour me rappeler qu’il va pas s’écrire tout seul ce livre !)

Ecran verrouillé (photo de Bert Stern)

Ecran normal (photo de George Barris)

 

Tous les dimanches, je mets en ligne une source d’inspiration pour l’écriture de mon roman Lithium Breed. Ca peut être une photographie, une chanson, une phrase… Par contre, je dis pas pourquoi ou pour quoi ça m’a parlé et la façon dont c’est digéré dans l’écriture : c’est juste pour le plaisir des yeux et/ou des oreilles (et vilement faire revenir les habitués aussi le dimanche !).

C’est parfaitement inutile, donc parfaitement indispensable.

Aujourd’hui : Une aquarelle de Marilyn Monroe, datée de 1962 (Juin, visiblement) et destinée au President à l’occasion de son dernier anniversaire. Pour des raisons inconnues, l’aquarelle n’a jamais été donnée à Kennedy…

Tous les dimanches, je mets en ligne une source d’inspiration pour l’écriture de mon roman Lithium Breed. Ca peut être une photographie, une chanson, une phrase… Par contre, je dis pas pourquoi ou pour quoi ça m’a parlé et la façon dont c’est digéré dans l’écriture : c’est juste pour le plaisir des yeux et/ou des oreilles (et vilement faire revenir les habitués aussi le dimanche !).

C’est parfaitement inutile, donc parfaitement indispensable.

Aujourd’hui : Après la cuisine, la chambre de Marilyn Monroe, toujours au 12305th Helena Drive sa dernière demeure. Il s’y passe la plupart des scènes avec elle. La photo ci-après fut prise quelques heures après sa mort, dans l’état où elle l’a laissée. Il y règne un certain bordel parce qu’elle était encore en train d’emménager, attendant encore certains meubles, cherchant à donner sa patte à cette maison.

La porte de droite donne sur un petit couloir qui s’ouvre sur le salon. La porte de gauche donne sur la salle de bain, que je présenterai un autre dimanche. La photo est prise depuis une fenêtre, celle qu’aurait forcée Greenson pour pénétrer dans la pièce, soi-disant fermée à clef.

Pour le plaisir, une autre photo, dans un autre lit !